En effet, et consciente que l’adoption de ces mesures entraineraient la destruction de dizaine de milliers d’emplois du fait de l’impossibilité laissée d’ici à janvier 2026 de recruter et former ces professionnels, et quand bien même cela serait possible, de supporter les surcoûts générés par ces mesures, la FESP et ses administrateurs Crèches / Micro-crèches ont immédiatement saisi et alerté les ministères et parlementaires concernés de la menace pour la pérennité de vos structures. Comme indiqué également, le Conseil d’administration de la CNAF, au sein duquel siège la FESP, devait également se prononcer sur le texte.

Suite à notre très forte mobilisation à travers le Medef auprès des différentes organisations syndicales et patronales, le Conseil d’administration de la CNAF a émis un avis défavorable sur les mesures envisagées par le Gouvernement. Cet avis défavorable, bien qu’il ne soit pas de nature à empêcher le gouvernement de sortir le texte, serait le cas échéant la traduction d’une volonté de passer en force et cela…